jeudi 10 novembre 2016

La révolte a un nom


Arès : 1h26 d'action !
On a trouvé ce film aussi captivant qu'intéressant. C'est une histoire qui se passe dans un futur proche, l'ordre mondial a changé. La France est devenue un pays pauvre, avec un nombre de chômeurs passant la barre des 10 millions. Une grande multinationale exploite cette pauvreté en proposant un divertissement pour le peuple : des combats télévisés ultra violents où les participants sont ultra dopés en tout légalité. Reda, le personnage principal, surnommé Arès (le nom du dieu grec de la guerre et de la destruction...) vit de petits boulots, notamment policier où ses gros bras ne servent pas à rien ! Sa vie va être complètement chamboulée lorsque sa sœur se fait emprisonner. Il va tout mettre en œuvre avec ruse et intelligence pour la sauver ainsi que ses deux nièces.
Le réalisateur à travers ce long métrage cherche à dénoncer l'augmentation de l'utilisation des produits dopants dans le domaine du sport ainsi que les dangers de la télé réalité. Au slogan "du pain et des jeux" de l'Antiquité  succède pour lui "dope et combats". Ce film-là nous fait penser au Prix du danger d'Yves Boisset en 1983 ainsi qu'à la série de films Hunger Games de Gary Ross sorti en 2012.
Enfin un bon film de science fiction français.
Charlotte Vaunac, Emma Ouardi, Lucie Caudron

1 commentaire:

  1. Eh bien on est ravi! C'est vrai que la France n'est pas très science-fiction...

    RépondreSupprimer